Alors que le temps file vers une nouvelle année, mes dernières forces de l’an 2014 sont absorbées par les virus qui trainent dans l’air. Ça tourne au ralenti dans ma tête, alors que j’ai (ou j’ai l’impression d’avoir) tant à faire.

Bref, en ce WE pluvieux, voire neigeux pour certains – quoi de plus normal pour un hiver – voici un peu de soleil avec un cliché automnal. Pour être franc, je ne suis pas sûr de la « qualité » de ce cliché, qui sans l’énonciation d’une once de contexte n’aura probablement qu’un sens tronqué, voire erroné, de mon intention première. Ceci fait écho presque malgré moi à l’article sur le contexte d’Eiffair, que je vous invite à lire si les images ne sont pas la seule chose qui vous intéresse.
En attendant d’aborder ce sujet de la contextualisation différemment, j’hésite ici fortement à donner sauvagement quelques détails : un peu comme si je voulais garder jalousement ce cliché pour moi¹ alors qu’il n’a pas vraiment de valeur particulière à mes yeux. Est-ce la lecture de l’article cité ci-dessus ou simplement mon état d’esprit à cet instant, je ne saurais dire.

Quoi qu’il en soit, cliché banal ou pas, je le partage ici, car c’est bien le but de ce blogue et en prime vous n’avez même pas à attarder vos yeux dessus si cela ne vous parle pas.

Sous le regard, Toulouse (2014)