Soyons brefs et concis. Il s’agit d’un article écrit, mais jamais publié pour rédaction non terminée, photos non traitées, flegme… il y a 5 mois déjà.

Ah Paris! que dire sur notre chère capitale si visitée par les touristes de tout horizon. Tant de fascination, tant de clichés… mais aussi tant de désamour pour tout ce que Paris représente de négatif. Il me vient étrangement en tête depuis ce matin la mélodie « la France » de notre Trust national, ce qui donne un « Paris tu l’aimes, ou tu la quittes ». Euh, je m’égare déjà, mais voilà lorsque vous vivez en province, il a y forcement des choses qui vous saute aux yeux et qui vous rappelle que les clichés existent pour une bonne raison. Lorsque vous attendez plus de 5 min au comptoir d’un café que la seule personne qui vous regarde et vous adresse la parole en ne vous balançant rien d’autre qu’un « c’est pour encaisser? », forcement çà vous met dans l’ambiance. Paris souvent dépeinte comme une cité stressante, l’ai assurément un peu, mais évidement pas autant que dans l’imaginaire collectif. En revanche, son bouillonnement permanent est tellement flagrant qu’il indéniable qu’elle soit clivante : soit l’on se laisse prendre par le tourbillon parisien, soit on s’accroche à une pierre provinciale.

Bon quoi qu’il en soit, même pour un passage de moins de 24h, il était impensable de ne pas déambuler un minimum avec ma boite à photo, toujours un peu « boiteuse » ses derniers temps. Par une température un peu fraiche pour mes petites mains (un petit 0°C de saison) et un peu aidée par un ciel dégagé, j’ai fait un tour aux jardins du Luxembourg histoire de ne pas rester dans le trafic urbain et de garder un petit souvenir de ma montée sur panam…